Iloé

Dans ce spectacle, chorégraphie, musique et lumière, nous immergent dans une traversée sensorielle et sensible, à partir d’un coquillage des mers lointaines ...

Entrer en résonance avec le mouvement et la fluidité, le son et la musique, l’espace et les couleurs.
« A l’écoute des fluides en nous, l’eau qui brasse, l’eau, surface, tambour d’eau et ronds dans l’eau, l’eau goutte infiniment petite à l’infini de l’océan.» Claire Newland

L’écriture chorégraphique privilégie les matières dansées à partir de la couleur peau et d’une rencontre entre une origine en nous et hors de nous, une eau douce, dynamique, aérienne...visant l’émergence de la fluidité et de la tactilité...

L’écriture musicale du compositeur acousmate « établit des passerelles entre des matériaux sonores de la nature, dans et hors de l’eau et des matériaux propres aux compositions électroacoustiques, sons nouveaux et encore non référencés pour jouer de notre mémoire auditive. » André Dion

Nous ne pouvions oublier les chants de baleines, mammifère acoustique par excellence, ni la résonance spiralée du son à l’intérieur du coquillage.
« L’eau est la mélodie de fond qui accompagne incessamment la vie dans ses métamorphoses. » Théodore Schwenk

« Ici, pas de décor mais la mer à perte de vue, avec des éclairages bleu nuit. (…) 30 minutes de fraîcheur où l’on oublie tout pour une autre planète : un vrai ravissement à découvrir et à entendre, l’oreille collée sur un coquillage »
Midi libre Fév.1998

« Un voyage aquatique et magique plein de douceur pour les tout-petits, une île... entre le ciel et l’eau »
La Marseillaise Fév.1998

« Dans ses tourniquets de sirène au grand large, la danseuse vous invite à l’imaginaire comme l’on écoute la mer au fond d’un coquillage. Comme né d’un ruissellement pour mourir dans les profondeurs obscures du grand Bleu. Les bambins en avaient la bouche bée et les mirettes captivées. »
Indépendant mai 1999

« Seule sur scène d’un bout à l’autre, dans cet univers de danse où l’on plonge doucement mais sûrement »
Midi libre Fév.2002